La défiscalisation immobilière sert à investir afin de récupérer une grande partie de cet investissement en tant que réductions d’impôts. De ce fait, l’avantage fiscal qui est concédé par l’État permettra de payer peu d’impôt sur le revenu durant une période déterminée, ce qui est variable en fonction du dispositif choisi.
Ils peuvent juger de l’investissement dans une pierre comme étant l’un des plus fiables. En effet, l’intérêt fiscal pour des investisseurs est notamment attractif.
Défiscalisation dans un investissement dans le neuf : quels dispositifs ?
Il existe trois dispositifs que la Loi de finances 2022 encadre. Ils vous permettront de prétendre à quelques réductions d’impôts qui vont financer une partie de l’acquisition de bien : loi Pinel, loi Censi-Bouvard et statuts de LMNP/LMP.
En succédant le dispositif Duflot et étant reconduite jusqu’en 2024, la loi Pinel permet à tous les investisseurs achetant un bien immobilier neuf de le louer pour bénéficier de la réduction d’impôts. Ils devront respecter un bon nombre de conditions qui sont relatives au bien, à la partie d’implantation, au plafonnement des loyers, à la durée de location du logement et au locataire.
Complétant un statut de Loueur en Meublé Non Professionnel (LMNP), le Censi-Bouvard vous permet d’avoir une réduction d’impôt tout en récupérant la TVA sur le logement neuf meublé placé dans une résidence avec des services.
Un non-respect des engagements de cette location peut entraîner la perte de bénéfice de vos incitations fiscales. Le désir de l’acquéreur est donc attiré sur des risques qui affèrent à un investissement locatif. Plus de détails sur actualite-immobilier.fr
Que représentent les statuts LMP et LMNP dans l’investissement en logement meublé, neuf ou ancien ?
En fonction de votre qualité de loueur en meublé professionnel ou non professionnel, vous pourrez alors déduire vos différentes charges et votre déficit foncier, imputer les amortissements immobiliers et mobiliers, et bénéficier éventuellement d’une exonération de plus-value.
Comme précisé dans l’actu immobilier, l’investisseur est alors considéré par la loi comme étant un Loueur en Meublé Non Professionnel ou un Loueur Meublé Professionnel selon essentiellement le montant des revenus locatifs qui sont perçus en dessous d’une somme précise : il fait notamment partie des LMNP, lui donnant droit de tirer la totalité de son revenu global et de ses charges foncières.
S’il choisit le régime réel, il peut aussi prétendre à une imputation des amortissements mobiliers et murs sur le bénéfice d’exploitation. Il y a une plus-value de cession, quand l’investissement locatif est soumis à un régime de droit commun pour des particuliers.
Pour une somme au-dessus de ce qui a été dicté, l’investisseur est alors un LMP, il pourrait déduire l’intégralité de toutes les charges foncières du revenu global, puis actionner le levier de son déficit foncier. Puis, les amortissements sont tous déductibles du bénéfice d’exploitation, mais à condition de faire la location d’un logement meublé durant 5 ans au moins, il peut avoir une exonération complète de la plus-value jusqu’à la revente, comme le montre par exemple l’actualité immobilière.
Quels dispositifs pour une défiscalisation dans l’ancien ?
Selon l’actualité immobiliere, les lois Malraux et Monuments Historiques, il est davantage possible de profiter d’intérêts fiscaux très attractifs et notamment d’une défiscalisation partielle en immobilier. Le dispositif Malraux permettra de diminuer la facture fiscale avec une réduction d’impôts, ce qui est possible à obtenir à condition de faire des travaux sur le bien.
Le prix de la réduction est variable selon la zone d’implantation de votre immeuble. En plus, le propriétaire devra s’engager à le mettre en location durant une durée de 9 ans minimale. Dès 1913, la loi Monuments Historiques instaure un dispositif de défiscalisation qui permet aux propriétaires de biens catégorisés Monuments Historiques ou bien inscrits à l’ISMH de payer peu d’impôts.
Le dispositif Monuments Historiques vous permet alors d’imputer le prix des travaux d’entretien et de rénovation ainsi que tous les intérêts d’emprunt associés. En opposition à la loi Malraux, il n’y a pas de plafond de déduction ni d’obligation de location quand ils sont réalisés.